Flic guérisseur

« Tu devrais écrire ton histoire ! » a-t-on souvent conseillé à Robert Martin. Sa vie, celle d’un commandant de police, est tout sauf ordinaire. Entre enquêtes médiatisées et soins mystérieux, il navigue dans un monde où tout semble possible. Comment un chef de cabinet de la Police nationale, évoluant dans un environnement rationnel et parfois violent, peut-il prodiguer des soins énergétiques avec tant de douceur, alors qu’il ne peut même pas expliquer leur fonctionnement ?

Robert Martin possède un magnétisme qui prouve son efficacité jour après jour. Il a plusieurs capacités extrasensorielles, notamment une forme de médiumnité qui l’a accompagné tout au long de sa carrière d’« enquêteur d’élite et de thérapeute de choc ». Né d’un père inconnu et entré dans la police par la petite porte, il a gravi tous les échelons au sein du 36 quai des Orfèvres. Il a été affecté à la Brigade de répression du banditisme (BRB), à la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), à la Section antiterroriste de la brigade criminelle (SAT), puis au Service de protection des hautes personnalités.

De 1980 à 2008, Robert Martin, surnommé Bob, a participé à de nombreuses enquêtes retentissantes : le Gang des postiches, l’affaire Guy Georges, l’attentat de Port-Royal, l’affaire Merah, le Gang des barbares, et même l’affaire Lady Di. Ce policier hors du commun, décoré de la Médaille d’honneur de la Police nationale, de l’Ordre national du mérite et de la Légion d’honneur, a achevé sa carrière en tant que chef de cabinet du directeur général de la Police nationale.

Jamais il n’a cessé de soigner. Tout naturellement, à l’âge de la retraite, il a ouvert un cabinet à Paris, où il exerce désormais comme thérapeute. Sa devise ? « Servir et guérir ». En savoir plus.