Scandale de la vérité

Bien sûr, voici une réécriture de la description en utilisant un style plus actif et engageant :

« Commençons par situer M. Georges Bernanos dans le paysage littéraire. Sa définition n’a pas été simple. Dans « Sous le soleil de Satan », il apparaît comme un romancier du surnaturel, une spécialité rare en France qui n’a pas vraiment de territoire littéraire bien défini. Avec « L’imposture » et « La joie », il se révèle en tant que romancier du prêtre, un autre domaine extrêmement difficile et peu commun chez nous. Cependant, ses talents de polémiste s’affirment rapidement dans « La Grande peur des bien-pensants », où il éclaire alors sa pensée et sa tradition intellectuelle. » (Ramon Fernandez) Pour en savoir plus, continuez votre lecture.