Les faits sont les faits : l’histoire occultée des Juifs Khazars: Les Ashkénazes ne descendent pas d’Israël

Cet ouvrage risque de ne pas séduire de nombreuses personnes, car il aborde une question très délicate : l’origine des peuples. En effet, ce texte remet en question l’origine de la plus ancienne des civilisations, celle du peuple hébreu (rien de moins !). Benjamin H. Freedman, dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, a eu l’occasion d’avoir de nombreux entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis. Il a été témoin, et même acteur, des manipulations qui ont eu lieu dans la politique internationale et les médias. Freedman a également été l’ami personnel de plusieurs figures politiques influentes, telles que Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et John F. Kennedy.

Extrêmement riche, étant le principal actionnaire de la célèbre compagnie de savons Woodbury, il possédait un carnet d’adresses exceptionnel. Ces atouts ont sans doute contribué à sa longévité, tout en l’incitant à écrire une série d’ouvrages percutants. Après la Seconde Guerre mondiale, écœuré par les événements auxquels il avait assisté, Freedman a décidé de révéler tout ce qu’il savait sur le sionisme et ses origines. En tant que Juif et ancien sioniste, il connaissait parfaitement le sujet. Il a rompu avec ses idéaux et a fondé en 1946 la « Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine ». Par la suite, il a consacré le reste de sa vie, ainsi qu’une grande partie de sa fortune, à lutter contre ce qu’il appelait « la tyrannie sioniste » qui oppressait le monde. Il a investi plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son propre portefeuille, dans cette cause. Pour en savoir plus, continuez votre lecture.